
Matteo Gava est un jeune italien qui a choisi la Suisse pour démarrer sa vie professionnelle. Après son master en nutrition et bien-être des animaux à Padova et Udine, il décide d’appliquer tout ce qu’il a appris aux êtres humains. Pourquoi? Jeune, sa grande sensibilité lui permettait d’entrer plus facilement en contact avec les animaux qu’avec les humains. Il a choisi d’étudier la nutrition et les animaux, et ses études l’ont ouvert à l’intelligence relationnelle et la complexité humaine qui le fascine.Lire la suite →



Gabrielle Sturm, coworkeuse à la Muse, a lancé en collaboration avec Shaban Shaame, un sondage pour mieux comprendre les attentes et les désirs des coworkers de la Muse. Nous avons décidé d’en partager les résultats, car cela peut aider d’autres espaces.
Il faisait froid le 20 novembre 2015, il faisait surtout humide, car il pleuvait des cordes. Un temps à ne pas mettre un entrepreneur dehors. Et pourtant, cette date annoncée un peu plus d’un mois plus tôt a fait date ! La Muse, grande organisatrice de la manifestation, est une équipe qui sait bouger et faire bouger les choses. Un petit lutin, qui était sorti voir s’il trouvait un abri un peu potable par ce temps de cochon, a tout vu, et il raconte. Bien sûr, un lutin c’est anonyme, donc nous ne donnerons pas son nom. On ne le connaît pas, d’ailleurs. Mais, de par sa petite taille, il a pu se faufiler partout. Donnons-lui la parole …
Introduite par Sandrine Salerno, Conseillère administrative de la Ville de Genève, la soirée de clôture IDDEA 2015 a levé le voile sur les gagnant-e-s d’une édition particulièrement disputée, pour le plus grand plaisir des 520 invité-e-s attendu-e-s.
Pour garantir une société de l’information inclusive et à dimension humaine, la société civile doit pouvoir mettre en place les démarches et les outils qui y contribueront de manière pérenne. Mais a-t-on identifié aujourd’hui ces pré-requis indispensables ?
Lundi 11 janvier 2016 de 12h00 à 14h00, ne manquez pas le 1er Piknik de l’année à la Muse.

Ce que l’on a appris à la Coworking Europe Conference à Milan en novembre dernier, est qu’un partenariat avec le propriétaire des lieux est la meilleure des pistes pour la durabilité des espaces de coworking. C’est un tel partenariat que Muse Genève est entrain de développer pour 2016. Cette démarche implique la communauté des coworkers, un ou plusieurs Musekeeper(s) en charge de certaines tâches d’intendance incompressibles, le réseau rezonance, la fondation, le bailleur, et tous les fournisseurs. Voici partagées les réflexions d’un coworker à ce propos :
Chronique de Geneviève Morand – Tribune de Genève

