Invitation à la Causerie du jeudi 25 septembre 2014

unnamedCauserie du jeudi 25 septembre de 18h00 à 20h30

@ Muse Genève, 2 rue de la Muse

Réseaux sociaux et métiers de demain

Coordonnatrice de communication digitale, planneur stratégique, manager en e-réputation ! Quels sont ces nouveaux métiers qui dessineront le marché du travail sous l’influence des média sociaux ? Quelles compétences constitueront les profils recherchés ? Nous en causons le 25 septembre prochain avec Olivier Tripet.

 

L’explosion des médias sociaux s’accompagne de l’émergence rapide de métiers aux noms parfois exotiques. Mais plus que les métiers en eux-mêmes, ce sont les nouvelles compétences requises et la vitesse à laquelle elles apparaissent et se combinent qui impressionnent et posent souvent problème aux ressources humaines, aux recruteurs et au système éducatif. Que vous soyez en reconversion professionnelle, en quête de nouveaux talents ou simple observateur des tendances, Olivier Tripet vous apporte lors de cette Causerie quelques clés pour décrypter ces métiers et compétences de demain. 

Entrée libre et gratuite – N’hésitez pas à partager cette invitation

Inscription ici

La Causerie est suivie d’un apéritif canadien.
Merci de participer en apportant une boisson ou quelque chose à grignoter !

 

One thought on “Invitation à la Causerie du jeudi 25 septembre 2014

  • By Röthlisberger - Reply

    Cette causerie fut intéressante à plus d’un titre et j’en profite pour remercier l’orateur qui a su trouver l’équilibre entre la conférence et l’animation de débat.
    A un moment donné, la discussion est partie dans plusieurs directions au point où un nouveau débat était en train de naître sous nos yeux: quelle place faut-il donner à l’enseignement de l’informatique à l’école obligatoire.
    Vaste débat qui n’a apparemment pas de lien avec la présentation sur les réseaux sociaux et leurs nouveaux métiers. Rien à voir vraiment ? En tous cas, les organisateurs de la soirée ont immédiatement saisi l’occasion pour ajouter cette thématique à la liste des futurs causeries.
    Quand à moi, je ne regrette pas d’avoir fait une heure de train pour venir à la Muse, temple du co-working.
    J’ai particulièrement apprécié l’ambiance décontractée et informelle ainsi que la diversité des profils des participants dont l’expérience et l’expertise de certains étaient tout à fait impressionnante.
    Je dois dire cependant que je suis un peu resté sur ma faim car je m’attendais à un débat de citoyens sur les nouveaux métiers des réseaux sociaux et par conséquent sur la forme que prendront ces derniers. Or tout se passe comme si tout était déjà décidé et que nous, citoyens, n’avons pas d’autre choix que de monter dans le train en marche de la modernité. Que notre choix se limiterait à monter ou descendre de ce train sans possibilité d’en choisir la destination. J’aurai tendance à plaider pour un regard plus critique et une utilisation mesurées des réseaux. Et aussi, pourquoi pas, d’entamer une réflexion sur la possibilité et la pertinence de créer ou de participer à des réseaux sociaux de proximité, dont les serveurs et le public serait local ou régional.

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