Les espaces de coworking Muse fêtent leurs 5 ans : + de 400 coworkers ont bénéficié de l’effet Muse !

anniversaire5En 5 ans les espaces de coworking Muse Genève (300 m2) et Lausanne (200 m2) ont accueilli près de 400 coworkers. Leurs témoignages convergent pour parler de « l’effet Muse », soit la formidable énergie qui donne le courage de réaliser son rêve. Pour partager leurs talents, ils organisent un « BarCamp » ouvert à tous le mercredi 17 sept. à Lausanne et le jeudi 18 sept. à Genève en marge de la fameuse Nuit des Bains. Au programme : plus de 20 ateliers, un concert participatif et du réseautage, dans le but d’échanger et de faire connaître ces espaces et les 50 coworkers qui y résident actuellement.

Les Muses accueillent des porteurs de projet, qui peuvent être actifs pour une entreprise, une multinationale ou en tant qu’indépendant.  Tout porteur de projet a besoin d’un terreau favorable pour que la graine d’idée puisse germer. Dans les espaces Muse, il bénéficie de « l’effet Muse » qui repose sur trois piliers systématiquement mise en valeur.  Tout d’abord, il y a le principe fondamental de bienveillance et de non jugement qui laisse la porte ouverte au champ des possibles. Ici, on ne casse pas les rêves, on les encourage. Les valeurs de la Muse ne sont pas seulement écrites en gros sur les murs, mais les coworkers sont invités à en faire l’expérience, et à les vivre au quotidien. Pour Geneviève Morand, Présidente de la Fondation, « Ne plus juger l’autre, son projet ou soi-même est un vrai défi. Arriver à le faire est une condition pour permettre l’émergence du neuf. Lorsque l’on juge, on empêche l’autre de devenir qui il est. Cette condition,  ainsi que la bienveillance qui l’accompagne, est rarement identifiée comme étant capitale dans la libération du potentiel des talents. A la Muse, le non jugement et la bienveillance sont essentiels pour permettre le développement de projet innovant ».

Ensuite, il y a le frottement aux autres qui fait que plus on parle de son projet plus celui-ci s’affine. Par exemple au mythique « piknik de la Muse » hebdomadaire, chaque participant présente son projet et exprime ses besoins pour le réussir. Cette approche très concrète tangibilise l’intention et permet de passer rapidement aux différentes étapes du projet. En développant son réseau, on augmente la chance de rencontrer la bonne personne. Pour Charles Grossrieder, coworker à Muse Genève et fondateur de la plateforme Easy2family, « Le fait de travailler dans un espace de coworking comme la Muse me permet de bénéficier de l’écoute bienveillante d’une dizaine de personnes qui fonctionnent comme un sounding board informel et me permet de gagner en pertinence que ce soit dans la rédaction du communiqué, de la compréhensions du marché, ou la résolution des problèmes que je rencontre lors du piknik du lundi ».

Enfin, au cœur du dispositif, il y a l’entraide qui va bien au-delà de la simple aide. Pratiquer l’entraide, c’est comprendre qu’il est important d’évoluer aussi bien sur le plan personnel que professionnel, et qu’en fait les deux sont souvent liés. La question pertinente est privilégiée par rapport au conseil, car c’est à la personne de trouver elle-même sa solution. Elle seule peut apprendre et trouver les ressources pour contourner l’obstacle et transformer les difficultés en autant d’opportunités. « Je suis séduit par l’ambiance «start-up » et la motivation des coworkers de réussir leur projet entrepreneurial. A la Muse, on trouve entraide, soutien et confiance pour présenter ce que l’on fait ». Luca Salzano, co-fondateur de Novertur et coworker à Muse Lausanne.

En soutenant les talents de la classe créative, les espaces Muse, soutenus par les cantons, se placent clairement aux avant-postes de l’économie dans une approche très concrète ou souffle l’esprit d’entreprendre.

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