Le supplément carrière du Temps a consacré, le 23 août dernier, sa une de la rentrée aux réseaux des femmes en progression. Le réseau des Cellules d’entraide y figure en bonne place.
Son originalité par rapport aux autres réseaux ? C’est sa focalisation sur l’entraide et la progression personnelle et professionnelle de ses membres.
Ce qu’est un groupe d’entraide, comme les cellules (extrait du livre « L’art de l’entraide pour s’accomplir personnellement et professionnellement », Jouvence, à paraître le 13 sept. 2013) :
- Un réseau confidentiel dont les membres sont cooptés
- Un groupe d’une quinzaine de personnes sans conflit d’intérêt
- L’équivalent d’un conseil d’administration bienveillant
- L’accès à un réseau de pairs disponibles et sans jugement
- Un laboratoire pour tester de nouvelles approches sans risque
- Un engagement durable dont on est co-responsable
- Un espace et un temps privilégié, rien que pour soi
- Un soutien sur le plan personnel et professionnel, car les deux sont liés
- Un lieu où aiguiser son expertise et qui fait gagner du temps
- Un espace pour développer son leadership en toute sécurité
- Du co-apprentissage et de la co-créativité qui ressource
- Un espace sans enjeux qui favorise la diversité des échanges
- Une dynamique de groupe fondée sur l’écanges d’expériences
- La joie de contribuer sans contrepartie et sans attente
- Un temps pour conscientiser ses talents et développer son potentiel
- Un réseau où tisser des liens de qualité en profondeur
Ce que n’est pas un groupe d’entraide entre pairs :
- Du mentorat
- Du coaching
- Du consulting
- De la formation
- Une réunion entre amis
- Un guichet de consultation
- Un lieu pour développer ses ventes
- Un fan’s club
- Un club service
- Une association professionnelle
- Un programme d’intégration
- Une réunion de plus qui surcharge l’agenda
- Un groupe de projet
- Un cabinet de thérapie
- Un lieu où on vient prendre sans donner
- Un groupe d’achat
- Un groupe de pression (lobby)